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ego non - Page 3

  • Le risque du despotisme démocratique...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non dans laquelle il évoque la menace du despotisme démocratique au travers de l’œuvre d'Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique.

     

                               

     

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  • David Engels rencontre Antoine Dresse, le créateur d'Ego Non...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien de David Engels avec Antoine Dresse, créateur de la chaîne vidéo Ego Non et collaborateur de la revue Éléments.

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan après avoir été professeur à l'Université libre de Bruxelles, David Engels est l'auteur de deux essais traduits en français, Le Déclin. La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013) et Que faire ? Vivre avec le déclin de l'Europe (Blauwe Tijger, 2019). Il a  également dirigé un ouvrage collectif, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020). 

     

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    «Ne vous contentez pas de critiquer, créez!» Interview avec Antoine Dresse - créateur de la chaîne „Ego Non“

    David Engels : Cher Antoine, il y a quelques années, vous avez créé la chaîne « Ego non » qui jouit désormais d’une notoriété certaine en tant que source d’inspiration et d’éducation à la pensée conservatrice. Pouvez-vous rapidement nous présenter votre initiative ?

    Antoine Dresse: Je terminais mes études de philosophie quand l’idée est née de créer cette chaîne YouTube. Mon inspiration première m’est venue d’un regret de voir que certains concepts ou idées majeures de la pensée politique de droite n’étaient pas assez connus ni mobilisés. Cela m’avait d’abord frappé avec certains concepts novateurs de Guillaume Faye, tels que « l’archéofuturisme » (auquel j’ai consacré ma première vidéo), qui méritent, à mon sens, d’être plus largement diffusés et discutés.

    Dans chacune de mes vidéos, j’essaie donc d’exposer un concept ou une idée majeure d’un auteur, en essayant à chaque fois de le relier, d’une façon ou d’une autre, à une problématique politique contemporaine. Je ne prétends nullement à la neutralité, bien au contraire. Le choix des idées que je présente reflète naturellement une orientation politique, même si je ne partage pas forcément toutes les pensées de l’auteur dont je parle. Je poursuis donc un double but : Premièrement, susciter la curiosité intellectuelle des spectateurs en faisant découvrir certains auteurs ou certaines idées ; deuxièmement, offrir un nouvel angle pour repenser ou recentrer une problématique politique contemporaine.

    L’on critique en effet bien souvent les délires et les dérives de la pensée de gauche, progressiste et égalitaire. La critique est saine et même bien souvent salutaire, mais il me semble qu’il faut aussi pouvoir dépasser ces dérives par « le haut », si je puis dire. Face à la conception du monde propre des hommes de gauche, qui est totale, il faut savoir aussi offrir une conception du monde totale. Prenons un exemple précis : la gauche est égalitaire par essence. Devons-nous nous contenter de dénoncer les dérives de l’égalitarisme tout en conservant l’Égalité comme valeur intouchable ? Ou bien plutôt montrer que la beauté du monde et le développement de la personne humaine ne vont pas sans l’Inégalité ? C’est ce que j’ai essayé de faire avec ma vidéo sur la « philosophie de l’Inégalité » de Nicolas Berdiaev notamment.

    D’origine belge, vous vivez actuellement à Varsovie – un vécu qui m’est, comme le lecteur peut l’imaginer, assez familier. Pouvez-vous nous décrire en quelques mots votre parcours ?

    Mon parcours est assez « européen », si je puis dire ! J’ai grandi dans la ville de Liège, dans la région wallonne et francophone de Belgique. Reprenant une image de Joseph de Maistre, j’ai coutume de dire que j’ai découvert le monde antique sur les genoux de ma mère, à travers les grands récits de la mythologie grecque qu’elle me racontait durant ma petite enfance. La culture grecque n’est en effet pas anodine et a assurément imposé son empreinte sur moi, elle vous communique pour toujours, et à jamais, le sens d’une hiérarchie des valeurs face auxquelles les slogans modernes apparaissent comme ce qu’ils sont vraiment : des simulacres de valeurs.

    Passionné par la culture européenne, j’ai ensuite appris l’anglais, l’allemand et le russe quand j’étais adolescent. A l’âge de 18 ans, avant de commencer l’université, j’ai décidé de passer plusieurs mois en Allemagne et en Russie pour perfectionner la connaissance de ces langues d’une part et pour découvrir la mentalité de ces pays d’autre part. Cette expérience a sans nul doute contribué à consolider en moi un solide européanisme. A mon retour, j’ai commencé des études de philosophie en Belgique – ainsi qu’à Fribourg, en Suisse, pour une année. Même si je m’étais déjà intéressé à la pensée politique auparavant, c’est pendant ces années universitaires que je me suis véritablement formé intellectuellement de mon côté, en lisant tout ce que je pouvais trouver comme vieux livres dans les bouquineries de la capitale. Dans le cadre de mes études plus spécifiquement, je me suis concentré sur la philosophie médiévale et ai rédigé mon mémoire de fin d’études sur Jean Scot Érigène, un grand philosophe irlandais de la renaissance carolingienne.

    A l’issue de mes études, j’ai décidé de combiner mon intérêt pour l’Europe centrale avec la professionnalisation de mon activité de vidéaste. Je me suis installé à Varsovie pour découvrir la Pologne et je me consacre pleinement à mes activités métapolitiques et culturelles. 

    Pour des conservateurs occidentaux, la Pologne et la Hongrie jouissent de la réputation d’être, en quelque sorte, des pays sanctuaires de la civilisation européenne, alors que celle-ci semble en plein déclin identitaire, culturelle, politique et même économique à l’Ouest. Après avoir vécu à Varsovie pendant quelques années, confirmeriez-vous cette impression, et comment voyez-vous le futur de la Pologne ?

    Pour être entièrement honnête, mon impression est partagée. Il va de soi que la Pologne – à l’instar d’autres pays d’Europe centrale – fait office de « bastion conservateur » dans l’Europe du xxie siècle ; que l’on songe à la lutte du gouvernement contre les mouvements LGBT ou contre l’avortement (quoi qu’on en pense par ailleurs !) pour s’en convaincre. La très faible immigration de peuplement extra-européenne confère aussi de facto à ces pays ce statut de « sanctuaires ». Pour autant, il ne faut pas se faire d’illusion sur l’état d’esprit qui règne dans une partie non négligeable de la population, en particulier dans la jeune génération. Les valeurs « progressistes » de l’Occident conservent encore largement leur prestige et leur force d’attraction, au point que l’on peut sincèrement s’interroger sur l’avenir du conservatisme en Pologne et sur la pérennité de ce sanctuaire.

    Attention, mon propos n’est absolument pas défaitiste ni fataliste, au sens où je sous-entendrais que le déclin de la Pologne et de l’Europe centrale soit inéluctable. L’histoire est ouverte et il serait présomptueux de ma part d’affirmer que la Pologne empruntera forcément le chemin de ses voisins occidentaux. Ma remarque vise plutôt un des travers qui affecte toute la droite européenne en général : elle n’a pas grand-chose à opposer. Sa posture consiste bien trop souvent à « conserver », au sens le plus superficiel du terme, des formes sociales qui sont déjà mortes ou mourantes. De même, on n’associe à la droite qu’une attitude négative : « Non à l’avortement », « non aux lobbies LGBT », « Non à l’islamisation », etc. Le « Non » peut être dit avec toute la force du monde, je doute qu’il n’ait jamais autant de puissance créatrice qu’un « Oui ». Or tant que la Pologne n’incarnera pas un modèle alternatif de société, elle sera toujours perçue comme une société libérale défaillante qu’il faut réparer ou amender.

    Quel critère guide le choix de vos sujets de podcasts ? Et quels thèmes sont particulièrement prisés par votre public ?

    Mon critère est celui de la pertinence et de la nécessité d’envisager certains sujets sous un autre angle, afin de pousser plus loin la réflexion. Quand je travaille sur une nouvelle vidéo, je me demande toujours si je ne vais pas simplement ressasser de vieilles idées convenues et s’il y a réellement une plus-value à la vidéo que je vais proposer au public. C’est pourquoi j’ai tenu à faire découvrir des auteurs dont on parle malheureusement assez peu dans le monde francophone, comme Giorgio Locchi par exemple, mais aussi Arnold Gehlen sur l’hypertrophie de la morale, Nicolas Danilesvki sur la civilisation russe ou encore Juan Donoso Cortés et sa critique du libéralisme. En règle générale, je remarque que les thèmes historiques (« Mahomet et Charlemagne » d’Henri Pirenne) et les thèmes purement politiques (« La distinction ami-ennemi » de Carl Schmitt) sont les plus prisés par mon public.  

    Le monde de la droite européenne est littéralement déchiré par le conflit ukraino-russe. Croyez-vous qu’il sera possible, du moins à moyen-terme, de recoller les bouts ?

    C’est une question hélas fort délicate, à propos de laquelle la nuance est souvent absente ! Je n’ai jamais caché ma sympathie pour la cause ukrainienne dans cette histoire, mais je souhaite naturellement que les partisans de l’un ou l’autre camp mettent leurs griefs de côté afin de mener à bien leur combat commun pour la civilisation européenne. Je crains toutefois que certaines fractures ne se muent inévitablement en divorce consommé. Si certaines personnes soutiennent la Russie en raison d’une méfiance compréhensible pour le camp atlantiste américain, une bonne partie des militants de droite la soutiennent par pur ressentiment : contre les « élites », contre le « système », contre l’Occident, etc. Comme si la Russie avait pour volonté de sauver les Européens d’eux-mêmes tel un Deus ex machina ! Non seulement c’est s’illusionner sur l’état réel de la Russie, mais c’est aussi perpétuer une erreur qui a cours depuis fort longtemps à Droite, et que Philippe Baillet nomme « l’Autre tiers-mondisme ». Je crains dès lors que le camp « de droite » ne se fracture de plus en plus entre deux tendances irréconciliables : l’une cherchant à sauver la civilisation européenne de l’intérieur, en luttant contre ses tares sans pour autant chercher à la détruire, et l’autre cherchant son salut dans une alliance avec l’extérieur (le monde « traditionnel » musulman, la Chine ou maintenant le Russie), dans l’espoir de détruire cet « Occident pourri ». Cette seconde position me semble être une erreur complète pour la simple raison qu’elle ne comprend pas l’essence du politique. Comme le disait Julien Freund, on n’a jamais « le même combat » qu’un autre ensemble politique.  

    Ce n’est pas un secret de dire que Youtube, bien qu’intéressé avant tout par le gain commercial, n’est pas particulièrement en phase avec les contenus conservateurs, et nous pouvons constater la même chose pour la plupart des plateformes virtuelles monétisées. Comment voyez-vous l’avenir de votre chaîne dans un contexte devenant de plus en plus difficile pour la droite ?

    Il s’agit effectivement d’un équilibre précaire. Ayant moi-même été censuré de la plateforme Patreon pour « Hatespeech » un mois à peine après mon inscription, je suis bien placé pour mesurer la répression de nos idées sur internet. Pour y pallier, j’ai atteint pour le moment une relative autonomie en me dotant de mon propre site internet : www.ego-non.com .

    « Don’t criticise, but create » - telle est la devise de cette série d’interviews. Que conseilleriez-vous à des jeunes lecteurs voulant s’investir dans la lutte pour la survie de l’occident sans compter nécessairement être actifs dans un domaine politique qui éveille de plus en plus un certain dégoût ?

    Je leur donnerais ces cinq conseils au moins :

    1. Fonder une famille ou la consolider : d’un point de vue collectif comme individuel, cette tâche est capitale. Au niveau collectif, il faut impérativement inverser la tendance démographique que connaît l’Europe. Mais un tel raisonnement peut sembler très abstrait. Au niveau individuel, fonder une famille est aussi, et même en premier lieu, une façon de se réaliser comme personne. Si nous vivons pour léguer un héritage, comme je l’ai dit plus haut, il faut bien avoir des héritiers pour qui se battre. Beaucoup de gens, gagnés par le désespoir et le pessimisme, se demandent si cela vaut encore la peine d’agir. Ils ne se poseraient sûrement pas cette question s’ils avaient des enfants.

    2. Renouer avec la Beauté : un des traits de l’époque contemporaine qui me frappe le plus est le culte de la laideur. La laideur s’est infiltrée partout, dans l’architecture, dans la mode, dans l’art, dans la langue, dans la musique, etc. Or, notre combat est autant éthique qu’esthétique. Nous devons incarner une voie aussi rationnelle que belle ; le fond ne va pas sans la forme adéquate.

    3. Apprendre au moins une langue étrangère : en plus de l’utilité évidente que cela comporte, la connaissance des langues étrangères permet de s’évader mentalement et de relativiser les discours qu’on entend dans notre pays. De plus, s’il s’agit d’autres langues européennes, cela permet justement de nouer des liens de fraternité avec des Européens d’autres horizons.

    4. Se regrouper en communautés : face au déclin démographique que nous connaissons, il faut se préparer à vivre en minorité dans de larges portions de nos territoires et être, de ce fait, prêts à nous entraider. De plus, la société étant largement baignée d’idées de gauche insupportables au sens strict, la solitude et l’isolement peuvent rendre fous ceux qui partagent nos idées sans pouvoir les exprimer. Un dicton bien connu disait jadis : « Un chrétien seul est un chrétien en danger ». Or, cela s’applique également aujourd’hui à tous ceux qui ne pensent pas selon le moule conformiste de l’époque.

    5. Se réinsérer dans la longue mémoire européenne : contre les ethnomasochismes de tout poil, de gauche comme de droite, il s’agit de se réapproprier notre histoire, notre identité et notre culture. Les diverses mythologies indo-européennes, la philosophie classique, la religion chrétienne et la science occidentale sont constitutives de l’âme européenne et de sa grandeur. Les simplifications outrancières qui cherchent à faire l’impasse sur telle ou telle dimension de notre histoire sont l’effet d’une cécité intellectuelle qu’il faut dépasser.

    Antoine Dresse, propos recueillis par David Engels (deliberatio, 25 juin 2023)

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  • L'universalisme, ou le danger d'une morale hypertrophiée...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non dans laquelle il évoque un pan de la pensée d'Arnold Gehlen au travers de son essai récemment traduit, Morale et hypermorale (La Nouvelle Librairie, 2023).

    Figure de proue de l'anthropologie philosophique, Arnold Gehlen, dont la réflexion porte sur l'homme en tant qu'"animal inachevé" (Nietzsche) mais "ouvert au monde", est considéré comme un des intellectuels conservateurs les plus importants  du XXème siècle. Son œuvre a été traduite très tardivement en français et donc largement ignorée de ce côté-ci du Rhin. Après la publication de deux recueils de textes intitulés Anthropologie et psychologie sociale (PUF, 1990) et Essais d'anthropologie philosophique (Maison des sciences de l'homme, 2010), les éditions Gallimard ont publié son maître-ouvrage L'Homme - Sa nature et sa position dans le monde en 2021, quatre-vingts ans après sa sortie en Allemagne.

     

                                           

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  • Ernst Kantorowicz, le grand historien de l'État moderne...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui s'entretient avec Guillaume Travers pour évoquer avec lui l’œuvre du grand historien de l’État, Ernst Kantorowicz, auquel il vient de consacrer une étude dans la collection Qui suis-je ? des éditions Pardès.

    Collaborateur régulier de la revue Éléments, Guillaume Travers enseigne l'économie en école de commerce et a coordonné le numéro de Nouvelle École (n°71, 2022) consacré à Werner Sombart. Il a également publié une biographie de cet auteur aux éditions Pardès.

     

                                                  

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  • États civilisationnels, les nouveaux empires...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°201, avril - mai 2023) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré aux états civilisationnels, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Alain de Benoist,  Nicolas Vidal, l'animateur du site Putsch et le philosophe Baptiste Rappin...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Nicolas Gauthier, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Bernard Rio, d'Ego Non et de Slobodan Despot...

     

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    Éditorial

    Cinquante nuances de vert, par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    La carte de l’identité d’Alain de Benoist, propos recueillis par François Bousquet

    Cartouches

    L’objet disparu : le jeu de billes, par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéma : Ruben Östlund et Damien Chazelle, le cinéma contre la moraline, par Alix Marmin

    Champs de bataille : Un bunker en forêt, par Laurent Schang

    Les villajoies, par Bruno Lafourcade

    Curiosa Erotica : une courtisane en lutte contre la Matriarchie, par David L’Épée

    Économie, par Guillaume Travers

    Qu’est la nature devenue ? Le regard d’Olivier François

    Bestiaire : La pieuvre, un chef-d’œuvre de complexité, par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    Roulette russe, la guerre vue de Moscou, par Christian Rol

    La faillite du capitalisme post-industriel : l’Occident à court de munitions, par Lionel Rondouin

    BHL en Ukraine : liberté, égalité, choucroute, par François Bousquet

    Nicolas Vidal : « La réforme des retraites, coup de pelle à notre contrat social ». Propos recueillis par François Bousquet et Rodolphe Cart

    Colère de la ruralité : une nouvelle Levée des tridents en Camargue, par Pascal Eysseric

    Charles III, les deux couronnes du roi Charles, par Michel Marmin

    Darney, la ville de France où les loyers sont les moins chers, par Daoud Boughezala

    Vers la fin de la science ? Recherche : quand le niveau baisse, par Guillaume Travers

    Enquête sur un nouveau vent venu de l’Ouest : l’antilibéralisme anglo-saxon, par Thomas Hennetier

    La leçon d’éthique d’Arnold Gehlen, une anthropologie de l’hypermorale, par Walter Aubrig

    L’éclairage de Baptiste Rappin sur Pierre Legendre : comment instituer l’animal humain ? Propos recueillis par François Bousquet

    Séverine, la pasionaria des faubourgs, par David L’Épée

    Dossier

    États civilisationnels, les nouveaux empires

    États civilisationnels, vers un nouveau Nomos de la Terre, par Alain de Benoist

    Christopher Coker : « Pour les Russes et les Chinois, l’Occident est en déclin terminal ». Propos recueillis par Thomas Hennetier

    Frédéric Saint Clair : « La logique civilisationnelle : un nouveau paradigme ». Propos recueillis par François Bousquet

    L’Église aux origines de la psychologie occidentale, par Guillaume Travers

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : Éloge de l’intelligence manuelle, par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique : Czesław Miłosz, par Ego Non

    L’esprit des lieux : Sacri Monti, Eurodisney des pèlerins, par Christophe A. Maxime

    Un païen dans l’Église : double sens à Saint-Dié, par Bernard Rio

    C’était dans Éléments : les illusions olympiques, par Éric Leroux

    Éphémérides

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  • Giorgio Locchi et le surhomme...

    Le 30 décembre 2022, Rémi Soulié recevait, sur TV libertés, Antoine Dresse, alias Ego non à l'occasion de la publication de deux essais de Giorgio Locchi, Définitions (La Nouvelle Librairie, 2022) et Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste (La Nouvelle Librairie, 2022).

     

                                         

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